22/08/2012

De la pub géociblée et contextualisée pour des glaces !



Temperature in O2 wifi hotspots will dictate whether ice cream ads are served to users.

Mobile operator O2 has a number of free public wifi hotspots spread out across London, and has now started promoting Wall's Ice Cream.

Nothing strange there, until you consider that users won't see the ads until the temperature reaches a certain level.

The adverts for Magnum and Cornetto will only appear on the wifi homepage when the pavements are scorching.

Called Thermal Targeted Proximity Messaging, the programme will run throughout August.

21/08/2012

20 millions de mobinautes en France en juin 201


Audience Médiamétrie Juin 2012

En juin 2012, plus de 20 millions de Français (20,1 millions) se sont connectés au moins une fois à l’Internet mobile soit plus d’1 Français sur 3 (35%). La population mobinaute a progressé de 6% en un an. Son profil reste plus masculin et plus jeune que l’ensemble de la population française.  57% des mobinautes sont des hommes, 50% ont moins de 35 ans et 22%, plus de 50 ans.

Et une fois qu’on est mobinaute, on ne compte plus ! En juin 2012, chaque mobinaute a consulté en moyenne près de 700 pages sur les sites mobiles soit plus de 14 milliards de pages vues au total sur l’Internet mobile français. Ils ont surfé en moyenne chacun près de 4 heures ce mois-ci : 3 heures et 46 minutes, passées sur les sites mobiles. Niveau applications, les mobinautes ont effectué chacun près de 100 sessions (96), pour un total France de 2 milliards.

07/08/2012

Les médias locaux, le paradis des publicitaires ?


Les médias locaux suscitent de plus en plus l'intérêt des publicitaires. Les revenus sur ce type de média sont en forte augmentation.

Les médias locaux suscitent de plus en plus l’intérêt des publicitaires. Les recettes de la publicité dite locale ont augmenté de 13% en un an (2011-2012) et sont positives jusqu’à l’horizon 2016, si l’on en croit l’étude sur les revenus publicitaires des médias locaux de BIA/Kelsey. « Face à cette croissance, le marché va examiner toutes les opportunités de publicité » nous explique Mark Fratrik vice-président et chef économiste in BIA/Kelsey. Malgré la prédominance des médias traditionnels dans la part des dépenses de le publicité (à hauteur de 75%), «les dépenses liées aux nouvelles technologies vont croitre de façon exponentielle» ajoute-t-il. Ainsi les recettes publicitaires devraient augmenter de 77% pour la recherche mobile, de 51,6% pour la vidéo en ligne et enfin de 2,3% pour le social.

«Fondamentalement, les publicitaires vont devoir revoir le planning des Médias et leur processus d’achat des espaces publicitaires» nous confie Mark Fratrik. En effet la publicité est l’élément central du business plan des médias locaux et c’est souvent leur seule ressource. Elles ciblent des petits commerces et des petites entreprises. Ceux-ci privilégient ce support de communication car la zone de chalandise est souvent locale. Comme le coût est limité, «la tendance sera de coordonner une stratégie de publicité cross-canal » pour optimiser efficacement les campagnes de pub» poursuit il.

Une tendance qui n’est pas partagée par tous. Sur son blog marketingpilgrim, Frank Reed est assez sceptique. « Bien que la démarche et les données de l’étude semblent de qualité, il est difficile de suive l’évolution des médias locaux car ils meurent et apparaissent rapidement. De plus, l’évolution de la publicité n’est pas linéaire». Une pensée confirmée par Erwann Gaucher  PDG de Cross Media Consulting, qui a répondu aux question de l’Atelier. « 2016 est un horizon très éloigné en la matière, mais on peut penser, avec prudence, que nous serons encore dans cette phase de croissance du mobile, de la vidéo et des réseaux sociaux tels que Twitter, tandis que le web classique sera en baisse continue» a-t-il analysé.


Article publié sur le site www.atelier.net le 31 juillet


18/06/2012

La redoute se met au street mobile marketing

une information en provenance du site FrenchWeb

Selon nos informations, La Redoute va déployer dès mercredi prochain une opération de shopping online dans les rues des plus grandes villes de France. Basé sur sa nouvelle application baptisée « Street Shopping by La Redoute », le dispositif s’appuie sur deux éléments clefs : la géolocalisation et la réalité augmentée.


la suite de l'article : http://frenchweb.fr/exclu-la-redoute-deploie-une-operation-mobile-de-street-shopping-dans-toute-la-france-62065/


La géolocalisation, clef du succès de la publicité mobile et du M-Commerce

Une interview  avec le directeur marketing de Telmap : Motti Kushnir

http://www.mobile-ent.biz/news/read/opinion-the-key-to-mobile-advertising-and-m-commerce-location

11/06/2012

la publicité mobile géociblée cherche encore sa place !

J'espère que vous apprécierez le jeu de mots dont l'objectif est d'attirer votre attention sur cet article instructif provenant du site "Mobile Marketer" !

http://www.mobilemarketer.com/cms/news/advertising/13009.html


01/06/2012

Google ajoute une pierre de plus à sa stratégie d'intégration locale en lançant Google Plus Local

Today, we’re rolling out Google+ Local, a simple way to discover and share local information featuring Zagat scores and recommendations from people you trust in Google+. Google+ Local helps people like my husband turn a craving—“Wow, I need brunch”—into an afternoon outing: “Perfect, there’s a dim sum place with great reviews just two blocks from here. Let’s go.” It’s integrated into Search, Maps and mobile and available as a new tab in Google+—creating one simple experience across Google.

 
La suite de l'article : http://googleblog.blogspot.fr/2012/05/localnow-with-dash-of-zagat-and.html

14/05/2012

40 % des personnes vivant en ville ont un smartphone


40 % des personnes vivant en ville ont un Smartphone, tel est l'un des résultats de l'étude sur la vie dans les villes et les nouveaux usages grand public, publiée lundi 14 mai par le "Consumer Lab" d’Ericsson, le laboratoire de recherche du groupe qui observe les tendances de consommation sur les produits et services dans le domaine des technologies de  l’information et de la communication.
Ce document analysant le comportement d'habitants de 13 grandes villes dans le monde et réalisé à partir de plusieurs études faites par Ericsson en 2011, montre que 50% des citadins utilisent leur téléphone mobile tous les jours pour se connecter à internet.

48% des habitants des villes se déclarent satisfaits de leur cadre de vie en ville. En général, les femmes sont plus contentes que les hommes d'y habiter. Mais on relève de fortes disparités selon les régions du monde : 73% des habitants de Stockholm sont satisfaits tandis que seulement 24% de ceux de Seoul le sont. Et les jeunes sont plus contents que les plus âgés au Caire et à Séoul, tandis que c'est l'inverse à Bombay, Stockholm et Tokyo où les seniors sont les plus satisfaits.

Pami les critères positifs, ils relèvent  la proximité des commerces, cafés et restaurants, et des loisirs, la couverture du réseau de téléphonie mobile, et la distribution de l'eau. Leurs points de mécontentement portent sur le manque de propreté, les problèmes pour se garer, la qualité de l'air, et le trafic routier. "Le temps de trajet en ville peut être imprévisible, voire hasardeux" relève l'étude.

Les habitants des villes passent d'ailleurs beaucoup de temps sur les trajets. En moyenne, ils consacrent 2 heures et 20 minutes par jour à leurs déplacements. A Moscou, cela peut aller jusqu'à 3h30. "Dans la plupart des villes, le trafic et le manque de places de stationnement est l'une des causes fournissant le plus de stress dans la vie quotidienne, note l'étude. (...) Dans certaines villes, les autorités travaillent à améliorer l'accessibilité de l'information du trafic en temps réel sur les téléphones mobiles".

 A Los Angeles, la plupart des habitants utilisent leur voiture, tandis qu'à Hong Kong, ils se déplacent en bus. Les Moscovites, eux, préfèrent le vélo ou se déplacer à pied.  Les cyclistes pourraient ainsi apprécier un système mobile leur indiquant sur leur téléphone où ils peuvent trouver des pistes cyclables, les usagers des transports en commun, des plans de route et des temps de trajets actualisés, les conducteurs de véhicule un système d'accès au trafic en temps réel, note le Consumer Lab.
Activités courantes durant le temps de transport-crédits Ericsson
Le téléphone mobile permet de mieux exploiter ces heures perdues dans les transports. Les Smartphones sont utilisés pour envoyer et consulter les mails, organiser les loisirs, ou se tenir au courant de l'actualité durant les temps de transport. Ceux qui conduisent s'en servent pour écouter de la musique.

L'étude montre aussi que les citadins consacrent beaucoup de temps à des activités de socialisation, qu'il s'agisse de rencontres familiales ou amicales, qu'elles se déroulent de manière physique ou virtuelle sur Internet. Cela leur prend 2h30 par jour, dont 45 minutes sur Internet en moyenne. Les habitants du Caire, eux, peuvent passer 1 heure 10 par jour à socialiser sur la toile.
Les réseaux sociaux par exemple, sont très utilisés par les habitants des villes, qui utilisent en moyenne deux réseaux sociaux. Cela peut aller jusqu'à trois à Bombay, Pékin, Moscou, São Paulo, ou au Caire. Et en moyenne, ces internautes ont 247 amis avec qui ils sont en contact. Mais cela va de 73 à Tokyo jusqu'à 565 amis à São Paulo.

Cécile Prudhomme


09/05/2012

eBay serait-il en passe de devenir le nouveau géant du local ?

We hear a lot about the “four horsemen of digital media” — Apple, Google, Facebook and Amazon — which each own massive stakes of our digital lives.
But is there a fifth contender in eBay? It’s been “local” to some degree since the first Beanie Baby sold in ’95. But it has accelerated its position in the last 18 months through a series of acquisitions, and is on pace for $8 billion in mobile transactions this year.

La suite de l'article : http://streetfightmag.com/2012/05/07/as-where-joins-paypal-will-ebay-be-the-next-giant-in-local/

Les marques peuvent désormais proposer des coupons Facebook aux Etats-Unis.

Today any local U.S. business can start using Facebook’s Offers product – free-to-create coupons that businesses can share to the news feed, and that users can bring to brick-and-mortar stores for redemptions. First announced in February at the Facebook Marketing Conference, the product has been in private testing with a select group of brands who worked with Facebook reps to run the offers. Now the promotional product is available in a self-serve interface.

La suite de l'article : http://techcrunch.com/2012/05/03/facebook-offers/

03/05/2012

leboncoin choisit Admoove comme solution de géociblage pour son site mobile


Paris, le 02 mai 2011

AdMoove, société spécialisée dans la gestion de campagnes géociblées sur mobile, annonce  la signature d’un contrat avec leboncoin portant sur la fourniture d’une solution de publicité géociblée pour le site mobile du leader des petites annonces.

En s’appuyant sur un concept simple et efficace, leboncoin s'est imposé en 5 ans comme le site leader de la catégorie « Petites annonces ». Le site rassemble 14,6 millions de visiteurs uniques et génère 3,3 milliards d’impressions par mois (Source : Médiametrie//Netratings janvier 2012).

L’accès au site leboncoin depuis un téléphone mobile ne cesse de progresser. Avec plus de 2,6 millions de visiteurs uniques, il se classe en 13ème position des sites les plus consultés depuis un téléphone mobile (Source : Médiametrie//Netratings février 2012).

Pour Antoine Jouteau, Directeur Marketing & Commercial du site leboncoin : « Le partenariat avec AdMoove s’inscrit dans notre stratégie de montée en puissance sur les supports mobiles. Nous sommes persuadés que le ciblage géographique constitue le facteur clef de commercialisation de notre inventaire mobile, en permettant aux annonceurs de mener des campagnes ciblées autour de leurs points de vente. »

Pour Jérome Leger, Président d’AdMoove : « Nous sommes ravis que les équipes du site leboncoin nous aient choisis pour les aider à commercialiser leur inventaire mobile. Nos solutions de géociblage couplées aux thématiques du site vont permettre de proposer des offres particulièrement adaptées à certaines catégories d’annonceurs, notamment dans les secteurs de l’automobile et de l’immobilier où le site leboncoin est leader. »

Recherche locale : le mobile devant le PC dès 2015

Analyst firm BIA/Kelsey has projected that by 2015 there will be more local searches coming from smartphones than PCs  in the US. It’s a bold prediction and one that has logical merit: smartphone search volumes are growing faster than search on the PC. While local search is at least 20 percent of total queries on the PC (per Google) it’s at least 40 percent of smartphone queries, also according to Google.


La suite de l'article : http://searchengineland.com/analyst-mobile-to-overtake-pc-for-local-search-by-2015-119148



26/04/2012

Les Français apprécient les services de géolocalisation

D'après TNS Sofres, les services de géolocalisation "constituent la fonctionnalité mobile qui devrait bénéficier de la plus forte croissance au niveau mondial", et particulièrement en France, où l'engouement pour ce service est légèrement plus prononcé. L'institut révèle que 64% de nos compatriotes qui n'utilisent pas encore ces services souhaiteraient le faire (60% au niveau mondial), et que 31% des Français équipés les utilisent déjà (contre 19% au niveau mondial). Parmi ces utilisateurs, 42% s'en servent pour naviguer (cartes, GPS), localiser des restaurants ou des lieux de sortie (30%), des points d'intérêt à proximité (29%) et trouver des horaires de transports publics (20%). En revanche, les utilisateurs français de réseaux sociaux sont peu nombreux (7%, contre 13% au niveau mondial) à partager leur localisation sur ces sites.

25/04/2012

Fusion de Bee Media et Adcentricity, 2 spécialistes du marketing géociblé sur mobile


Location based specialists aim to help advertisers create hyper-local campaigns.
Bee is a mobile shopping platform, while Adcentricity describes itself as a local marketing specialist.
The merged entity will use the Adcentricity name, with Doug Woolridge, CEO of Bee Media, remaining at the helm as the CEO.
In its new form, the firm's platform will 'allow brands to execute and respond to localised events and activities, and scale from one location to tens of thousands via a series of new and existing products'.
"The combination of local, shopper marketing, mobile, in-store radio and video networks has created a fractured landscape of thousands of smart, effective companies and media channels with limited ways to get the attention of, and adoption by, brands," said Rob Gorrie, former CEO of Adcentricity.
"Together with Bee Media, we can now offer an even more powerful platform with the ability to target and distribute addressable content across every digital channel with a location attached to it - including mobile shopping applications, which Bee Media has been quietly building over the past year."

De la pub sur Foursquare dès le mois prochain ?


AdAge has reported that the location specialist will debut a paid-media platform in June that will let merchants promote special deals.
So when users search for local specials, they can see paid ads – and these ads will be targeted using the same algorithms mine users' previous check-ins - and those of their friends - to make the results more relevant.
Foursquare is already working with brands, of course. AdAge cites a previous campaign with Walgreens to embed barcodes that users can unlock by checking in to a store and redeem for savings.
It's also worked with Coca Cola, AmEx and others.However, most existing activity has been experimental. For example, Time Out New York rolled out a Foursquare-powered leaderboard to show user preferences around its Best of New York issue.
This is the first indication of a detailed revenue generating strategy.

Mobile Entertainment - 24/04/2012

04/04/2012

Comment optimiser son budget de communication local grâce au mobile

7 Tips for Big Brands That Want to Reach Local Consumers

National brands that add local context to their mobile campaigns can expect to see click-through ratesrise to 5% to 8%, versus 0.6% for mobile display ads without local relevance, while adding something as simple as a local phone number to a Yellow Pages print display ad has been shown to increase response rates by 40%. While there’s little doubt that local marketing helps big brands get noticed, many national companies have been slow to get onboard with these types of advertising tactics thus far. (Thirty-three percent of the top 100 U.S. brands don’t have mobile-optimized websites, and 16% have no mobile strategy.)

16/03/2012

Google partage des infos sur l'usage de l'internet mobile par les commerçants

I recently heard a radio commercial on one of my two favorite southern California country stations for GoMo, Google's initiative to help businesses build a mobile Web site and strategy. The deal offered companies Google's help in Web development and hosting space.

Some 79% of large online advertisers still don't have what Google considers a mobile-friendly site. A Google webinar Thursday supported the GoMo campaign. When asked during the webinar how many businesses on the call have built a mobile-friendly site, about 42% said yes and the remainder said no.

It turns out that 53% of Americans own a smartphone. About 95% use smartphones to search, 77% in a store, 43% while commuting to work. I am one of those 13% who pull out their smartphone to search on something during a conversation to look for a business, confirm facts, or further thoughts in a conversation.

Read more: http://www.mediapost.com/publications/article/170267/when-conversations-lead-to-mobile-searches.html#ixzz1pIIIlnh5

07/03/2012

Exclu : les taux de clic du search local et du display local

Local-mobile ad network xAd released a treasure-trove of data from Q4 2011 this morning. The US-based information is drawn from mobile sites and apps that run its ads and the related user behaviors that xAd observes. These data are interesting in part because xAd has what is probably the largest network offering local search and display advertising outside of Google (AT&T might dispute that claim).


La suite : http://searchengineland.com/report-52-pct-of-local-mobile-search-clicks-turned-into-calls-111877



29/02/2012

20% des visites sur un site mobile génèrent un appel téléphonique

When they want you, they want you. For some local services already optimizing their sites for mobile search and phones, the results may be off the hook. According to new data from DudaMobile in partnership with the Google-led GoMo initiative, one in five visitors to a mobile-optimized small business site leads to an immediate call to that business. DudaMobile claims half a million mobile sites on its platform. For this survey it monitored activity at 500 of its customers' mobile sites.


Google featured DudaMobile’s research and advice on mobile site optimization at its Mobile Ads Blog. The company’s data from Q4 2011 shows that in select verticals the click-to-call rates are astronomical. Leading the way is the transportation vertical with a 44% call rate, followed by pizzerias (32%), car services (28%), auto repair (22%), home repair (20%), medical services (16%), beauty and spa (13%), retail stores (12%) and restaurants (11%). When available, users will also click through to maps and directions at an average rate of 3.25% across categories.

In a new white paper, DudaMobile recommends that mobile sites keep content prioritized according to user preferences. Use the Web analytics as a starting point for ordering content, but put a premium on speed. Fast loads, bulleted-point text that is easy to read and optimized images all help the mobile user get in and out.
Keep the navigation consistent and simple, preferably relying on vertical rather than lateral scrolling. Keep Back and Home buttons apparent throughout, leverage search boxes, and try not to exceed seven links per page for navigation purposes.  
And don’t forget the basics of smartphone use. We rely on our fattest finger -- the thumb -- for much of our navigation chores. Keep buttons near the center of the screen and with white space to avoid mis-clicks. And make the clickable area around text and check boxes generous.  
DudaMobile CMPO Dennis Mink cites Compuware data that shows a majority of users have a positive impression and are more likely to buy from sites that optimize for mobile -- and that 19% of mobile users get a negative overall perception of businesses that don’t offer mobile-friendly sites.  

Mediapost.com
Steve Smith 

24/02/2012

Le bon vieux tract publicitaire a encore de beaux jours devant lui

Article publié sur le site du Nouvel Economiste le 23/02/201 par Julien Fournier
A l’heure d’Internet, des communications mobiles et du développement durable, le tract papier demeure un vecteur de publicité important pour les entreprises. Utilisé pour faire connaître une nouvelle enseigne ou informer d’un événement particulier, il permet de toucher directement la population vivant dans la zone de chalandise de l’annonceur. Mais pour éviter le sentiment de sur-sollicitation chez le destinataire, qui peut s’avérer totalement contre-productif en terme d’image pour l’enseigne, l’opération devra être ciblée avec finesse et s’appuyer sur un support et un message de qualité.
Apremière vue, le tract papier est aux techniques de publicité en ligne ce que la calèche est à l’automobile ou la bougie à l’ampoule : un objet sympathique et charmant, mais totalement obsolète. Et pourtant… A l’heure de l’emailing et des communications par voies numérique et mobile, les boîtes aux lettres, elles, restent régulièrement abreuvées de prospectus en tous genres, tandis que les opérations de distribution de flyers dans la rue sont toujours monnaie courante. Nouveaux restaurants, enseignes de grande distribution, magasins de meubles, salles de sport… Les sociétés persistent à employer ce moyen de promotion, quitte à prendre le risque de lasser des destinataires déjà sur-sollicités. Alors le tract est-il aujourd’hui encore un outil publicitaire utile ? Convient-il à certaines entreprises plus qu’à d’autres ? Et comment l’optimiser pour être sûr de garantir son efficacité et l’intégrer de manière bénéfique dans sa stratégie de communication ?
Tract publicitaire ou imprimé sans adresse ?
“Tract publicitaire”. Le terme serait-il devenu, avec le temps, péjoratif ? Pour certains professionnels de la publicité, du marketing et de la communication, il reflète une image négative dans l’esprit du public, qui l’associe souvent au “tractage sauvage” interdit par la loi, polluant et envahissant. “Le mot ‘tract’ est dévalorisant et agressif, explique Éric de Barry, dirigeant de l’agence de conseil en communication AstonWood. Nous préférons parler d’imprimés sans adresse, qui sont diffusés selon les voies autorisées. Rien à voir avec le tractage sauvage, qu’il soit publicitaire ou politique.”
Si les appellations changent selon les interlocuteurs, la réalité du produit et les modes de diffusion de ces flyers, prospectus, brochures et autres catalogues restent, eux, souvent les mêmes : distribution dans les boîtes aux lettres des particuliers, dans la rue, de la main à la main, ou dépôt dans d’autres commerces et sociétés. Du 100 % traditionnel, en somme. A l’heure d’Internet et de l’explosion des communications mobile et numérique, ce moyen de promotion est fortement concurrencé par d’autres, plus rapides, souples et réactifs. C’est le cas, par exemple, de l’emailing, perçu comme l’équivalent Web du tract.
“Le mode de fonctionnement et les avantages sont similaires, précise Rachid Belaziz, fondateur et directeur de RBMG Consulting, un cabinet de conseil et d’accompagnement des PME. Mais le côté numérique permet une communication plus dynamique, qui peut évoluer avec le temps. Sans oublier que le coût de lancement est moindre que celui d’une campagne d’imprimés.” Secoué par les nouveaux moyens de communication, regardé de travers depuis que les préoccupations environnementales et de développement durable se démocratisent au sein de l’opinion, le tract publicitaire reste pourtant un outil de travail utilisé par nombre d’entreprises.
Il y a quelques années, les sociétés de création et de conception d’imprimés publicitaires craignaient que le Web ne finisse par tuer le papier. A tort, visiblement, car pour le moment il n’en est rien : si son utilisation semble globalement décroître et représente de toute façon une part assez faible de l’activité des agences de publicité, rien ne laisse supposer qu’il serait voué à disparaître. Pour beaucoup de commerçants, communiquer en imprimant des tracts publicitaires afin de présenter un nouveau produit ou d’annoncer un événement particulier est une habitude, et même une tradition, qu’il ne leur viendrait pas à l’esprit d’abandonner.
Pour les nouvelles enseignes, il s’agit de l’un des premiers réflexes pour se faire connaître. Mieux : le tract ne fait pas que résister face au numérique, il se révèle être un vecteur nécessaire. Les sociétés ayant à un moment fait le choix de l’abandonner l’ont vite compris. Éric de Barry se souvient de plusieurs cas : “Quelques grandes enseignes très connues avaient décidé d’arrêter la distribution d’imprimés dans les boîtes aux lettres. Ça a duré trois ou quatre mois, puis elles s’y sont remises : les conséquences étaient dramatiques et l’impact sur le chiffre d’affaires énorme.” Même retour d’expérience du côté de Nathalie Lavallard, co-gérante de l’agence de communication Point de Repère, ayant notamment comme clients des franchisés InterSport. A propos de ceux-ci : “S’ils n’ont pas de prospectus en cours mis dans les boîtes aux lettres, leur chiffre d’affaires baisse de près de 30 %.”
Si les entreprises ont du mal à s’en passer, c’est d’abord parce que le tract permet de toucher mieux que la plupart des autres outils de communication publicitaire, une population de proximité. Et ce quel que soit le secteur d’activité de la société ou sa taille. Pour des PME comme pour de grands groupes, pour des salons de bronzage comme pour des enseignes de la grande distribution, l’enjeu de proximité sera le principal attrait de cette technique.
“La publicité distribuée en boîtes aux lettres est particulièrement intéressante pour établir un discours de proximité entre une enseigne et les gens qui vivent dans sa zone de chalandise, commente Éric de Barry. Plus que sur des questions de taille d’entreprise ou de secteur d’activité, c’est là que se situe l’enjeu, sur cette offre de proximité. Quand un grand nom de la distribution fait une campagne sur l’ensemble du pays, il va utiliser les médias pour faire passer différents types de messages : un qui sera national, via les radios et la télévision, et un autre plus local, diffusé en investissant les boîtes aux lettres et par l’affichage.” Pas étonnant, compte tenu de cette spécificité du tract publicitaire et de l’échelle essentiellement locale de sa portée, que les petits commerces et le secteur de la restauration l’utilisent en priorité.
Qu’il soit distribué directement au domicile de ses destinataires ou leur soit remis de la main à la main, par exemple à la sortie des transports en commun, le tract permet également de toucher directement la population visée. Et même si le risque est grand que le prospectus finisse presque immédiatement à la poubelle sans avoir été réellement lu, les émetteurs ont toutefois la certitude que le destinataire y jettera au moins un coup d’œil – ce qui n’est pas nécessairement le cas avec d’autres modes de publicité.
“On sait qu’avec la boîte aux lettres, les gens n’ont pas tellement le choix, sourit Éric de Barry. Ils sont obligés de trier ce qu’ils reçoivent, car au milieu du courrier, il y aura des factures, des cartes postales… Il y a donc nécessairement un contact avec la pub. Aux concepteurs de ces imprimés de faire ce qu’il faut pour sortir du lot et accrocher l’œil de l’éventuel client !” Par rapport au média Web et à l’emailing, ce moyen permettra également de toucher une population plus large, y compris des personnes âgées n’ayant pas le réflexe Internet ou des foyers non équipés d’ordinateur. “Pour toucher ces gens-là, confirme Rachid Belaziz, rien ne vaut le contact. Un beau flyer, c’est encore ce qu’il y aura de plus efficace.”
Dans le cadre d’une diffusion manuelle dans la rue, le contact humain et l’interaction entre la personne distribuant le flyer et les passants seront également primordiaux. Le relationnel, absent de la plupart des autres techniques de promotion publicitaire, jouera ici un rôle essentiel pour que le message ait plus de chances de toucher le client potentiel et l’incite à chercher plus d’informations sur la société et son offre ou à se rendre dans le magasin.
D’où, pour les entreprises et les agences de communication, la nécessité de bien former et briefer les personnes en charge de la distribution. Eric de Barry : “C’est avant tout une question d’efficacité du procédé et d’image de l’entreprise. Les hôtes et hôtesses qui seront alors engagés jouent un rôle pivot. Il faudra qu’ils aient en tête certains points : tendre avec le sourire, offrir sans donner l’impression d’imposer, privilégier la qualité plutôt que la quantité, avoir la bonne formulation au moment de proposer l’imprimé…” Enfin, le format papier du tract présente un autre intérêt, d’ordre à la fois psychologique et pratique : offrir un support matériel quand l’époque tend de plus en plus vers la dématérialisation. “Il y a un rapport presque sensuel au papier”, explique Nathalie Lavallard.
“On peut le lire, prendre son temps, y revenir, le transporter avec soi, noter des informations complémentaires dessus”, précise Nicolas Flanquart, fondateur de la société Koy’Art s’occupant, entre autres, de la création d’affiches, de flyers et de dépliants. Par rapport, par exemple, au média Internet, le tract permet en outre une meilleure mémorisation et conservation. Rachid Belaziz : “Si le flyer est bien fait, il sera conservé, restera par exemple sur le bureau. On le verra donc régulièrement, ce qui entraîne une répétition du message qu’on ne pourra pas obtenir avec le numérique. Ce sera ainsi plus efficace sur la durée.”

Si le support papier apporte à ce mode publicitaire certains de ses principaux avantages, il est également la source de nombreux reproches. Jugé envahissant et polluant par l’opinion, il ne bénéficie souvent que d’une durée de vie très limitée. “Les gens sont déjà surchargés de paperasse, de publicités en tous genres, regrette Rachid Belaziz. Dans la plupart des cas, ils vont jeter ces tracts sans les avoir réellement lus. Du coup, l’opération ne sera pas économique, et le retour sur investissement très faible.” Overdose de tracts ? Si les gens se sentent sur-sollicités, c’est dû à la mauvaise utilisation qui en est faite par beaucoup d’entreprises, qui privilégient trop souvent la quantité à la qualité.
Or pour les agences de conseil en communication, le ciblage est primordial afin de réussir ce type d’opération, et l’envoi massif à oublier, car très coûteux et au final contre-productif. “Pour que ce moyen de publicité soit efficace, il faut réfléchir en amont, l’utiliser et le diffuser selon des stratégies de ciblage, précise Eric de Barry. Là où les gens le perçoivent mal, c’est quand ils ressentent du gâchis, quand on donne à des endroits inappropriés ou à des cibles inadéquates des infos qui ne peuvent les intéresser là où elles sont.”
Plutôt que d’envoyer des milliers de tracts à l’aveuglette, il sera plus profitable de cibler les boîtes aux lettres selon l’éloignement entre la cible et l’entreprise émettrice. Dans le cas d’un grand commerce de distribution, viser l’intégralité des boîtes aux lettres des particuliers vivant à proximité serait par exemple une perte de temps et d’argent, car ceux-ci ont de toute façon l’habitude de se rendre dans son enceinte.
Le tract restant considéré avec méfiance par beaucoup, et sa mauvaise utilisation pouvant être préjudiciable en termes d’image, l’entreprise devra redoubler d’efforts pour sortir du lot et parvenir à accrocher l’attention. D’autant plus que la concurrence est rude. D’où la nécessité de se poser les bonnes questions : comment faire pour attirer les gens dans mon magasin tout en nourrissant mon image ? Comment faire pour utiliser les boîtes aux lettres, où je vais être a priori intrusif et pollueur, sans lasser les gens ? Comment faire pour compenser ces points négatifs ? Comment montrer aux gens que même avec ce mode de diffusion, non adressé, ou en le distribuant de la main à la main, je le fais avec qualité et avec respect, à la fois pour eux et pour mon point de vente ?
La réponse, pour les professionnels, tient, bien sûr, à des aspects de présentation (beau papier, illustrations et graphisme travaillés, effort sur les accroches, sobriété du message), mais aussi à un autre élément : l’humour. “Il faut fuir la réclame consensuelle, explique Éric de Barry. Les publicités que les gens retiennent sont notamment celles qui les interpellent, les incitent à agir.” Or cette dimension accrocheuse est trop souvent absente des imprimés publicitaires.
Le tract ne doit également pas être considéré comme une fin en soi, mais être couplé à d’autres moyens de communication ou de distribution. Nathalie Lavallard : “Nous proposons toujours un packaging, afin de diversifier l’offre : il ne serait pas envisageable de se contenter d’un seul outil”. Car il ne suffira pas à lui seul à assurer un retour sur investissement satisfaisant pour une entreprise, quels que soient sa taille et son secteur d’activité.
“Ce n’est qu’un levier, un instrument de politique commerciale, résume Rachid Belaziz de l’agence RBMG Consulting. Il doit toujours être suivi d’une action de terrain, d’un complément, comme par exemple une relance par téléphone ou mail, un passage sur place… en fonction de la cible et de ses attentes, de la façon dont elle a déjà été sollicitée… On ne peut se contenter de faire distribuer massivement des tracts.” Et parmi ces stratégies complémentaires visant à coupler le tract à d’autres actions de publicité, certaines nouvelles technologies permettent d’allier les forces du papier avec celles de la communication mobile et numérique.
C’est le cas des QR Code, imprimés sur des tracts et qui, une fois flashés avec le téléphone, permettent d’accéder au site Internet de la marque ou de l’enseigne. A la fois plus ludique et attractif, ce moyen permet en outre d’économiser du papier. Eric de Barry : “Au lieu de distribuer un dépliant ou un catalogue de 40 pages, on va offrir des imprimés dans un format sortant de l’ordinaire, avec un papier un peu plus épais, un simple recto-verso, et une invitation à flasher un QR Code pour se rendre sur le site de la marque et gagner un cadeau. C’est l’alliance efficace et intelligente entre le média papier et Internet.”
Le tract publicitaire reste donc un moyen de promotion efficace pour se faire connaître auprès d’éventuels clients. Quel que soit le secteur d’activité de l’entreprise, il est surtout utile pour toucher une population vivant dans sa zone de chalandise. S’il permet de toucher les gens directement chez eux, il doit cependant faire l’objet d’une réelle réflexion et d’une stratégie de ciblage minutieuse avant le lancement de l’opération. De l’avis des professionnels du secteur, les envois massifs ont fait leur temps, ne permettent pas d’atteindre un retour sur investissement satisfaisant et risquent même d’être contre-productifs : sur-sollicités par la publicité, les particuliers les jugent souvent intrusifs et dérangeants.





01/02/2012

Que font les Européens avec leur smartphone ? Ils consomment.

Selon Comscore, les habitants des cinq principaux pays européens sont plus enclins à adopter un smartphone que les Américains. Notamment pour consommer en ligne en toute mobilité.

Alors que la plupart des OS mobiles « intelligents » sont nés de l’autre côté de l’Atlantique, les smartphones sont plus appréciés en Europe qu’en Amérique du Nord. Selon le cabinet de mesure d’audience Comscore, les téléphones multimédia apportant l’Internet mobile constituent en moyenne 42 % des parcs de terminaux mobiles en France, Royaume-Uni, Italie, Espagne et Allemagne contre 39 % aux États-Unis.

Plus étonnant (mais logique face au nombre d’appareils en circulation), Symbian reste la plate-forme mobile la plus utilisée dans l’Europe des cinq pays précédemment cités. Selon Comscore, l’OS de Nokia s’impose à hauteur de 32 % des usages contre 28 % pour Android et 21 % pour iOS. Bizarrement, les BlackBerry de RIM ne sont pas évoqués.

Et que font tous ces utilisateurs de leurs smartphones ? Ils consomment. Si 75 % d’entre eux surfent depuis leur terminal, exploitent une application ou téléchargent du contenu, ils ont été 13,6 millions à se rendre sur un site marchand. Avec 112 % d’augmentation (qu’on suppose annuelle, Comscore ne le précisant pas), le marché allemand se montre particulièrement dynamique en la matière.

Un résultat à néanmoins nuancer puisque 20,3 % des utilisateurs européens utilisent leur smartphone pour consulter leurs comptes en ligne, domaine que Comscore classe dans le commerce mobile (m-commerce) ce qui reste discutable. Néanmoins, ils sont près de 14 % à visiter un marchand en ligne, tandis que plus de 12 % utilisent le paiement électronique et près de 11 % consultent des guides de shopping.

Enfin, le portable sert aussi d’outil d’information sur les produits. Ainsi, plus d’un cinquième des utilisateurs (21,8 %) prend une photo du produit convoité avec un smartphone, près de 15 % en profitent pour requérir l’avis d’un correspondant (par un appel ou en envoyant un SMS) et près de 11 % ont « scanné » le code barres (probablement pour chercher des informations complémentaires). Bref, le smartphone s’impose de plus en plus dans les modes de consommation.

Et tous ces usages consomment de la donnée. En Europe (du moins celle des cinq pays mesurés par Comscore), les téléphones mobiles comptent pour 3,2 % du trafic Internet mondial en moyenne tandis que les tablettes en génèrent 1,4 %. En la matière, le Royaume-Uni s’inscrit comme le champion avec 5,1 % du trafic, suivi de l’Espagne (2,7 %).

Notons cependant que Comscore a effectué ses mesures en octobre 2011. Depuis, les résultats ont dû évoluer. Ne serait-ce parce que Nokia a encore perdu du terrain sur le marché du mobile au quatrième trimestre 2011.

Silicon.fr le 31 janvier 2012 par Christophe Lagane

23/01/2012

Le site mobile "les horaires" rejoint le réseau AdMoove

Lancée en octobre 201, la version mobile du guide participatif Les-Horaires.fr a déjà trouvé son
public. Ce guide fournissant l’accès aux horaires d’ouverture de plus de  250 000 commerces et
services de proximité se devait de répondre au besoin exprimé par sa communauté de plus de
4 000 000 visiteurs uniques par mois : celui de pouvoir consulter où que l’on soit et à n’importe quel
moment, les horaires d’ouverture des enseignes et services de proximité référencés sur le 1er guide de France en termes d’audience et de références.


Le site mobile Les-Horaires.fr possède la même ergonomie qu’une application ce qui le rend facile à
utiliser et à adopter. Avec cependant un avantage majeur : nul besoin de le télécharger depuis une
plateforme et de le configurer, ce qui est un gain de temps appréciable.  « Nous avons fait le choix du
site mobile plutôt que de l’application pour permettre à tous, quel que soit l’appareil ou le système
d’exploitation, d’avoir un accès vraiment direct à  notre guide. Nous avons collé à l’ergonomie du
monde des applications pour répondre aux attentes des utilisateurs en termes d’interface et
d’habitudes de navigation », précise Julien Pellegrain, CEO du guide participatif Les-Horaires.fr.  

AdMoove animera la session SMC "Monétisation des services geolocalisés"

Pages Jaunes, Qype, Dismoioù... la principale ressource de ces services réside dans la création d’outils de marketing direct géolocalisé, destinés aux business locaux, et intégrés le mieux possible à l’expérience de l’utilisateur. Les modèles économiques de ces services sont-ils stabilisés ? Quelle est audience et quels usages peut-on observer 

Rendez-vous jeudi 2 février à 19h chez PayPal, au 21 rue de la Banque, Paris 2ème.
Cette session est réservée aux membres du SMC France : inscription obligatoire sur l’événement Facebook dédié